Elon Musk, toujours Elon Musk…
Jamais à court d’idées, Tesla se lance maintenant dans le vélo électrique !
Alors, il est vrai que ces derniers temps, plusieurs constructeurs automobiles ont aussi tâté le secteur du deux roues. Donc nous pourrions dire que finalement, il n’y a rien de bien vraiment étonnant à cela…
Pourtant, ce vélo – comme on peut s’en douter – très épuré et truffé de technologies (y compris muni d’un autopilote) est aussi un indice sur les ambitions de l’entreprise californienne.
Son nom :
Model B
Passons en revue les différents modèles de Tesla : Model 3, Model S, Model X et Model Y. On sait aussi qu’il y a un Cyber Truck (pick-up), une camionnette, un camion et un roadster en préparation.
Il reste néanmoins quelques lettres de l’alphabet disponibles, le modèle B étant un vélo, on peut imaginer que le modèle A pourrait être une trottinette ultra- sophistiquée.
Je vous laisse travailler votre créativité pour imaginer la suite…
Un problème génère toujours une opportunité pour changer les choses !
Vous est-il arrivé parfois d’être inquiet de ce que nous sommes en train de mettre en place dans l’espace ?
C’est effrayant !
Nous transformons notre planète en poubelle et par-dessus le marché nous en faisons de même avec l’espace. Alors qu’il n’est même pas encore colonisé, il se transforme en dépotoir pour pièces Hi-Tech.
Heureusement, il y a des bonnes volontés pour le nettoyer et cette initiative est européenne, cette fois…
L’ESA vient de conclure un partenariat avec la startup suisse ClearSpace sa, pour déployer une mission dans laquelle un engin spatial se positionnera derrière l’adaptateur de charge utile Vespa – un des nombreux détritus spatiaux – puis attrapera à l’aide de ses quatre pinces. L’engin sera ensuite désorbité avec sa prise
Il y a cependant un revers à la médaille car la mission est prévue seulement pour 2025. Ce qui veut dire que d’ici là, de nombreux déchets se seront encore accumulés dans l’espace. Donc, on ne peut malheureusement pas espérer d’avoir de véritables robots, nettoyeurs spatiaux opérationnels avant 2030. C’est dommage, mais c’est déjà mieux que rien…
Le lot de consolation est néanmoins palpable car si les européens réussissent ce challenge, de gros contrats risquent de tomber et nous pourrions probablement devenir des nettoyeurs spatiaux très utiles, puisque ces déchets menacent en permanence toutes les missions spatiales qui y sont déployées.
Quoi de neuf chez les GAFAM ?
Vous avez peut-être entendu parler du projet – extrêmement controversé – de cryptomonnaie à l’initiative de Facebook…Libra ?
Un projet qui avait fait monter au créneau de nombreux personnages politiques – littéralement acharnés contre les GAFAM – comme Bruno Le Maire. Et bien voilà, c’est apparemment pour le début de l’année 2021 que vous allez pouvoir utiliser cette monnaie numérique, attachée comme on peut s’en douter, non pas à l’euro mais bien au dollar.
Arrêtons-nous un instant sur cette nouvelle monnaie numérique…
A quoi pourrait-elle être utile ?
Non, je ne ne vous parle pas de finance ou de l’économie dans son sens large, mais je me demande à quoi pourrait-elle servir aux modestes citoyens lambda que nous sommes ?
Apparemment, le but de Libra serait de fournir des services bancaires à ceux qui n’y ont pas accès.
Pour ma part, bien que la véritable utilité de cette dernière soit encore beaucoup trop abstraite que pour pouvoir savoir où nous nous orientons avec elle, je vois néanmoins dans cette nouvelle venue une véritable révolution. Et ce parce que Libra va devenir la monnaie numérique américaine officielle.
D’autre part, il est fort possible que des produits et services distribués sur les réseaux sociaux du groupe s’échangent à terme en libra et non plus en monnaies traditionnelles. De là à ce que l’on puisse acheter sur Amazon ou sur l’App Store différents produits ou services avec des Libra que nous aurions gagné en étant payés en Libra (parallèlement aux devises locales), il n’y a qu’un pas à franchir.
Pourrions-nous rêver de la fin de la pauvreté dans le monde ?
Ici encore, je laisse aller votre créativité, mais quoi qu’il en soit, après Apple, Amazon et Google, il semble que plus on avance, plus nos chers GAFAM vont se substituer aux banques traditionnelles dans le futur, voire à tout le secteur financier dans son ensemble.