Bonjour tout le monde !
Savez-vous ce qui limite la capacité des batteries ?
Les électrodes…
Si on s’attaque aux électrodes, on augmente la capacité des batteries et c’est précisément une société française, nommée Nawa Technologies qui s’est attaquée au sujet en plaçant des tubes de carbone – compatibles avec de nombreux matériaux comme le silicium – verticalement.
Pratiquement :
Le chemin que les ions ont à parcourir dans les électrodes avec ce dispositif est drastiquement réduit.
Résultat:
La densité d’énergie a été multipliée par trois et la densité de puissance de la batterie est multipliée par dix.
Intérêts:
On peut tout d’abord noter que l’on peut se passer du lithium, un matériau on ne peut plus rare. Ensuite ce type de technologie permet à une batterie d’être rechargée à 80% en cinq minutes.
Vous vous imaginez le luxe ?
Cela fait un bout de temps que je soutiens que l’électricité est la solution idéale pour nous.
Le débat doit avoir lieu, c’est vrai, mais la recherche avance à grand pas dans le secteur des batteries. On parle même d’utiliser des micro diamants issus de déchets nucléaires pour fabriquer des batteries inusables et que l’on aurait même pas besoin de recharger.
Le jour où on en arrivera là, c’est clair on sablera le champagne !
Toujours est t-il que les versions bêta de nouveaux produits ou services se multiplient dans les entreprises d’Elon Musk. Après la distribution d’internet via la constellation de satellites de SpaceX, c’est l’autopilote des véhicules Tesla qui franchit une nouvelle étape avec une nouvelle mise à jour qui permettrait une conduite entièrement autonome du véhicule.
Il se pourrait que très vite, les propriétaires de véhicules Tesla se réveillent un beau matin et qu’ils réalisent qu’ils sont les premiers, bien avant tout le monde, à posséder un véhicule autonome.
Disney est-elle une entreprise de la Tech ou non ?
And the answer is…Yes !
Ahhhh, Disney…
Cette vieille entreprise est en train de faire peau neuve et ressemblera probablement dans le futur à un phénoménal collecteur de données.
Forcément, le COVID 19 n’est jamais loin de ce type de revirement et Disney a effectivement payé cher son attachement à l’industrie traditionnelle avec la fermeture de ses parcs d’attractions et de ses salles de cinéma (et des nombreux produits et services qui en dépendaient).
Un coup dur apparemment, qui l’oblige à faire un virage à 180° et se concentrer avant tout sur le streaming et pourquoi pas devenir un concurrent de taille pour Netflix, Amazon et les autres ?
Dans les grandes lignes, voici comment les choses se présentent…
Disney se divise désormais en trois pôles principaux :
Studios, General Entertainment et Sports. Entendez par là, une mainmise bien faite sur une bonne partie de la galaxie des produits culturels et sportifs qui nous viennent tout droit des USA.
Essayons de voir un peu plus loin…
Disney possède des moyens colossaux pour fabriquer du contenu. Hors, on sait que le simple contenu réservé à la distraction à lui aussi ses limites. Et quelles sont ces limites ?
Les heures que l’on passe à s’instruire et à travailler !
Donc, y aurait-il quelque chose de véritablement étonnant si Disney avait dans un futur proche l’ambition de talonner Google, Facebook, Microsoft ou Apple en matière d’éducation ?
Un streaming à la française…
Passons à autre chose mais tout en restant dans le streaming avec SALTO…
Déjà entendu parler de Salto ?
Alors si ce n’est pas le cas, voici un scoop !
Salto c’est la réunion de France télévision, de M6 et de TF1. Soit les trois principaux acteurs du paysage audiovisuel français.
Le but de l’opération est ambitieux car il s’agit de concurrencer…Netflix.
SALTO s’adresse à un public purement et simplement francophone. Les mauvaises langues ne parient pas très cher sur l’expérience mais pourtant je pense que cela pourrait être intéressant si on élargit le service à toute la francophonie et que l’on arrive a y insérer les vieilles gloires d’antan. Il n’y a pas de production interne prévue au programme – du moins pour l’instant – mais on pourrait toujours imaginer une adaptation des Brigades du tigre en version beaucoup plus trash que dans les années 70.
Vous savez, le truc genre Sherlock Holmes avec Robert Downey Jr ?
Le tout c’est d’avoir au moins trois choses pour y arriver :
La créativité, les moyens et le cran pour mettre en place ce que l’on doit mettre en place !
Bon chez les GAFAM…
C’est toujours la bagarre avec l’administration et quand ce n’est pas les démocrates de Californie ou de Washington (bien qu’ils soient peu nombreux) qui s’en mêlent et bien c’est Bruxelles.
Bruxelles – le rouleau compresseur administratif – qui cette fois place une liste de 20 entreprises de la Tech sur accrochez-vous bien… une liste noire. Le but étant bien entendu de soumettre ces sales gosses de la Tech aux bon vouloir des huiles des capitales européennes.
On finira par croire que c’est véritablement de l’acharnement, d’autant plus – malheureusement, je n’ai pas encore eu accès à cette liste – que l’on peut se demander combien d’entreprises américaines font partie de celle-ci.
OK j’en viens au fait, le problème n’est-il pas avant tout politique ?
On en saura probablement plus dans les prochains jours…
Allez, à plus !