Petit retour en arrière sur la contre-culture californienne des années 60…
Vous n’êtes peut-être pas sans savoir que c’est précisément à elle que l’on doit notre monde d’aujourd’hui ?
Mais même si le mouvement part de Californie – et reste aussi finalement en Californie, même après 60 ans – il a été alimenté par de nombreuses personnes qui venaient de bien plus loin. Américains, certes comme Bob Dylan (Minnesota) ou Scott McKenzie (Floride), mais aussi Maxime Le Forestier (France) ou bien encore John Lennon (UK), pour ne citer que ceux-ci…
Beaucoup ont été inspiré par ce formidable mouvement culturel qui a amené aux espoirs les plus étranges et parmis ceux-ci, j’aimerais revenir sur un de plus beaux poème de cette époque et vous poser la question suivante :
Ne trouvez-vous juste pas qu’il avait vraiment vu juste ?
Revenons un instant sur ces paroles…
Imagine qu’il n’y ait pas de paradis
C’est facile si vous essayez
Pas d’enfer en dessous de nous
Au-dessus de nous seulement le ciel
Imaginez tous les gens qui vivent pour aujourd’hui
Imagine qu’il n’y ait pas de pays
Ce n’est pas difficile à faire
Rien d’intéressant
Et pas de religion non plus
Imagine tous les gens vivant en paix, toi
Tu peux dire que je suis un rêveur
Mais je ne suis pas le seul
J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous
Et le monde sera comme un
Imaginez pas de possessions
Je me demande si tu peux
Pas besoin de cupidité ou de faim
Une confrérie de l’homme
Imaginez tous les gens partageant tout le monde, vous
Tu peux dire que je suis un rêveur
Mais je ne suis pas le seul
J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous
Et le monde sera comme un…
Et si nous nous offrions un moment de réflexion par rapport à ce texte ?
Nous aurons très clairement l’occasion de nous pencher – dans les prochaines semaines – plus profondément sur celui-ci, mais en attendant je vous laisse réfléchir à ces bonnes paroles (ou à ce très beau conte pour adultes)…