Cela fait longtemps que la modernité effraye les gens qui vivent avec succès dans un mode plusancien. Pourtant nous avons la chance de vivre au tournant d’un nouveau siècle et même d’un nouveau millénaire…
Nous avons surtout la chance de rompre avec le passé et de vivre dans une nouvelle ère plus juste, plus humaine et plus propre…
Un léger retour en arrière…
Vous vous souvenez peut-être de la crise économique de 2008 ?
Les répercutions sur les populations ont été, on s’en souvient absolument terribles, mais que s’est il passé ensuite ?
Les gens ont perdu confiance dans les deux principales valeurs qui autrefois étaient incontestées : la finance et le pétrole.
La crise de 2008 à généré des répercutions complètement hallucinantes : Celles de l’avènement du Crowdfuding, des véhicules électriques ou encore de l’économie participative ou collaborative. Il n’est pas étonnant que les gens ont perdu toute confiance dans les institutions et ont commencé à réorganiser le monde à leur manière en rompant définitivement avec les valeurs du XX°siècle
La situation pouvait sembler négative, voir même catastrophique au départ, mais aujourd’hui elle peut au contraire, se révéler très enthousiasmante pour le futur.
Ces bienfaits, nous les voyons au quotidien…
Bien que la planète se porte au plus mal, des millions d’initiatives se font collectivement ou individuellement pour que les choses aillent dans le bon sens.
Une réalité finalement très simple…
L’OCDE considère que les cinq aptitudes qu’il faudra acquérir pour s’intégrer (dans le futur) seront la capacité d’interaction, l’esprit d’initiative, l’esprit critique, la créativité et enfin la plasticité. Cette dernière est intéressante car il s’agit de la capacité même à s’adapter à n’importe quelle situation, bonne ou mauvaise, et à la retourner à son avantage. C’est en quelque sorte tout ce que les grands de l’histoire ont toujours fait :
Victor Hugo, Winston Churchill, Charles Chaplin, John Lennon, Bob Dylan, Allan Turing, Pat Haggerty, Bill Gates, Steve Jobs ou encore Elon Musk et Larry Page, pour ne citer que ceux-ci…
Voici donc la situation dans laquelle nous vivons :
Il existe désormais deux axes économiques majeurs…
L’économie traditionnelle et l’économie numérique.
La première repose sur les fondements du XX°siècle. C’est à dire, une collaboration proche avec les institutions politiques, la production de masse et le marketing, l’utilisation et la production des énergies fossiles, l’organisation scientifique du travail, l’organisation verticale du management ou encore la multiplication des intermédiaires commerciaux.
Il faut bien l’admettre, l’économie traditionnelle à tout créé ou presque : Les possibilités qui s’offrent à elle sont aujourd’hui limitées et son champ d’action est de plus en plus restreint. Elle se vide progressivement de sa substance première… la main d’œuvre. Autre problème, le passage à l’économie numérique lui est obligatoire pour survire. Et qui dit économie numérique dit aussi robotisation, donc licenciement. Dans le cas contraire, l’entreprise s’éteint. Ce fut le cas de Kodak, qui à déposé le bilan en 2012. Un comble pour une entreprise qui était née avec la photographie et qui mieux encore à inventé la photographie digitale.
Une troisième force sur laquelle il va falloir compter…
Au vingtième siècle, nous ne pouvions compter que sur deux forces…
Loin d’être distinctes, ces forces se targuaient de fournir à l’individu a peu près tout ce dont il avait besoin :
Pouvoir d’achat, éducation, défense, sécurité… Tout ce dont nous avions besoin pouvait être fourni mais seulement… à moitié !
Les choses changèrent néanmoins lorsqu’une troisième force apparut…
L’économie numérique, dès le début du XXI°siècle a posé les règles qui ont forgé notre futur. Au contraire de l’économie traditionnelle dans laquelle tout ou presque à été fait, ici tout est encore à faire.
Voici donc notre dilemme…
Et maintenant…
Pour ceux qui sont oubliés par le secteur traditionnel, ils n’ont d’autres choix que de partir vers les entreprises technologiques. Mais bien entendu, tout le monde ne peut pas devenir ingénieur réseau,Scientist Analyst ou encore Data Scientist.
Pourtant, la plupart des gens font une erreur fondamentale en pensant que l’économie numérique nécessite uniquement des diplômes très élevés (Bac + 5 voir plus). Un chauffeur Uber peut vous le confirmer, c’est justement ici que l’économie numérique entre en jeu en tant que support et non plus comme nature même du travail…
Laissons les acteurs de l’économie numérique travailler pour nous, ils le font très bien. Chaque jours, plusieurs centaines de milliards de données sont ajoutées sur le web pour développer des millions d’applications, de produits ou de services aux travers desquels chacun de nous peut développer de nouvelles idées.
Chaque jour, l’Open Source offre des possibilités qui autrefois auraient coûté très cher. Chaque jour des milliers de tutoriels, de cours, de MOOC et de conférences sont disponibles en ligne pour enrichir à la fois connaissances et compétences….
Pourquoi devrions-nous nous en priver ?