Oui, si les Ricains n’étaient pas là, nous vivrions tous en Germanie, mais ni Roosevelt, ni Truman ne se seraient jamais alliés à Adolf Hitler !

Si les Ricains n’étaient pas là, nous serions tous en Germanie, à parler de je ne sais quoi, à saluer je ne sais qui…

Faut-il continuer les paroles de cette chanson de Michel Sardou qui disait qu’un type venu de Georgie (Etats-Unis) était venu venu mourir en Normandie, pour nous sauver du totalitarisme hitlérien (et plus tard stalinien) alors qu’il n’en n’avait pas vraiment quelque chose à faire ?

Des jeunesses hitlériennes à la Maison Blanche ?

« Si nous n’étions pas là (car bien entendu, nous sommes les seuls à avoir sauvé la France), les français parleraient allemand aujourd’hui » !

Ce sont les propos qu’a tenu une jeune porte parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, en réaction au propos du député français au parlement européen, Raphaël Glucksmann, quand il demandait de rendre à la France la statue de la Liberté qu’elle lui a offerte en 1886, l’année de l’inauguration de celle-ci…

Si autrefois cette situation aurait pu paraître complètement bénigne, les choses sont beaucoup plus délicates aujourd’hui car au vus des relations diplomatiques entre la France et les USA, rien ne semble aller pour le mieux et de nombreuses réflexions peuvent ressortir de cet évènement :

La toute première et non la moins négligeable est qu’une bonne partie de la population française parle allemand, non pas par force, mais parce que l’Allemagne s’est ressaisie d’elle-même par rapport à un régime totalitaire et que les intérêts communs européens l’exigeait. 

Oui certes, nous devons être reconnaissants envers les Etats-Unis pour l’aide précieuse qu’il nous ont apportés lors des deux premiers conflits mondiaux (à noter que nous les avons aussi aidés pendant la guerre du Golfe et en Afghanistan), mais auraient t-il vraiment été aussi des alliés (attention à la suite en ce qui concerne Trump et Poutine) s’ ils ne se sentaient pas menacés par certaines vocations impérialistes venant à l’époque de l’Allemagne, du Japon, de la Russie ? 

Nous pourrions aussi rappeler à Karoline Leavitt et à toute les jeunesses trumpiennes (néo-faschiste ou pseudo hitlériennes) qui gangrènent le symbole de la liberté qu’était la Maison Blanche, avant l’arrivée de Trump au pouvoir (et nous parlons bien ici de 2016), que jamais des présidents comme Franklin Delano Roosevelt ou encore Harry Truman ne se seraient associés à des ennemis de l’humanité comme Hitler ou Staline (malgré les accords de Yalta, la bonne entente à été de courte durée) !

Trump, Poutine, une association de malfaiteurs, voire plus si affinités !

Si les propos de Raphaël Glucksmann sont stupides et relèvent plus de l’autopromotion qu’autre chose, ils ont néanmoins le mérite de susciter un questionnement certain sur l’ampleur de la gravité de la situation dans laquelle le monde – et surtout l’Occident – se trouve aujourd’hui :

Le futur pacte, ou plutôt le potentiel pacte entre Vladimir Poutine et Donald Trump révèle en effet un refus de la liberté à laquelle tous les Etats souverains ont le droit de prétendre. La liberté à la nationalité et à l’identité culturelle est à la base même des enjeux géopolitiques et économiques de cet accord démoniaque ! 

Comment comprendre que le locataire de la Maison Blanche soit à la base de l’effondrement du bloc occidental, simplement pour privilégier des intérêts, avant tout personnels et au passage pour satisfaire son égocentrisme ?

Jusqu’ici, il était impensable d’imaginer que Franklin.D.Roosevelt ou encore Harry Truman, puissent sombrer dans un tel gouffre, mais voilà, Donald Trump est revenu et avec lui le rêve d’une poignée de fous – voire de criminels – de se partager certaines parties de la planète et ce quoi qu’il en coûte à l’humanité !

Clinton et Yeltsin : Un éclat de rire que nous sommes très loin de retrouver avec Trump et Poutine !

Beaucoup d’entre-nous se souviennent de cette fabuleuse scène qui rassemblait les présidents américain et russe, Bill Clinton et Boris Yeltsin :

Certes, nous parlons d’une entente d’une Amérique et d’une nouvelle Russie qui avait vu éclore de très belles choses qui aurait même, à termes, sans Vladimir Poutine du moins, la voire intégrer l’Union Européenne. Pourquoi pas après tout, étant donné qu’elle faisait elle aussi partie du Conseil de l’Europe et de beaucoup d’institutions mondiales. On a même vu une station spatiale internationale naître, voire même des exercices militaires conjoints avec l’OTAN. Mais tout laisse croire aujourd’hui que les efforts qui étaient faits de la part des dirigeants de ces puissances – la Russie du début des années 90, était néanmoins loin d’en être une – étaient orientés dans un sens constructif et non destructif…

Que penser donc d’une situation dans laquelle F.D.Roosevelt se serait allié directement avec Hitler parce que ses propres intérêts personnels pesaient beaucoup plus dans la balance ?

Oui aujourd’hui nous avons une identité culturelle, à laquelle nous tenons par-dessus tout et qui est en grande partie partagée mutuellement avec les Etats-Unis. Mais elle fait avant tout partie d’un ensemble occidental qui se réunit autour des valeurs que représentent celles qui incarnent la démocratie. Elles sont avant tout concentrées sur l’être humain et surtout sur ce qui peut l’empêcher de s’épanouir !

Pour être très clair avec Karoline Leavitt, si vous n’étiez pas intervenu en Europe comme vous l’avez fait (sauf que vous personnellement, vous n’y étiez pas) vous parleriez peut-être probablement, vous aussi allemand !

Sachez que dans l’Union Européenne cela ne dérange désormais plus personne, c’est d’ailleurs un véritable avantage et cette langue pourrait peut-être remplacer la vôtre au niveau du commerce international !

Il faut faire la distinction entre une idéologie nazie et une langue en rapport direct avec une culture véritable et l’enjeu des européens aujourd’hui est qu’il n’ont ni envie de partager la langue russe, ni envie de se faire avaler par une culture criminelle russe, même si un locataire, au bord de l’analphabétisme, de la Maison Blanche en a décidé autrement !

La question déterminante pour le futur est de savoir à quel moment la langue russe sera devenue officielle aux États-Unis d’Amérique à cause d’un personnage loufoque nommé Donald.J. Trump et d’une Karoline Leavitt qui semble ne pas connaître grand chose à l’histoire ? 

Américains, il est grand temps pour vous de prendre conscience de qui sont vos véritables amis, car les choses vont se retourner contre vous !

Sébastien Colson 

C’était bien ?

Bon…

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